Connaissez-vous Alain Goudey from Paris ? Savez-vous combien d'ingénieurs il y a en France ?
Untitled from Jean Michel Billaut on Vimeo.
Pourquoi Alain a-t-il un microphone dans la main et pas de casque sur les oreilles ?
Alain nous explique les tenants et aboutissants de la chose.. Mais, en fait ce e-billaushow est consacré à une discussion sur son livre écrit avec Gaël Bonnin, livre qui vient de paraître chez Dunod " Marketing pour ingénieurs".
Les ingénieurs ont-ils besoin de marketing ? "Oui, ils doivent avoir des compétences marketing et technologiques"... Combien d'écoles d'ingénieurs en France ? Combien "fabrique-t-on" d'ingénieurs par an ? Quel est le "stock" d'ingénieurs ? Combien d'ingénieurs ont aussi des compétences marketing ? ... Est-ce un handicap pour l'entreprise France si nos ingénieurs ne sont qu'ingénieurs 1.0 ?
Peut-on former des gens de marketing à la formation ingénieur ? Il faut que les 2 silos : marketing et Recherche et Développement de l'entreprise se causent...
Les ingénieurs qui sont formés actuellement sont des "digital natives"... Utiliseront-ils dans leur vie professionnelle les outils du web 2.0 ? Y a-t-il un pendant du livre papier sur l'Internet ?
Alain donne-t-il des cours dans les écoles d'ingénieurs ? Pourrait-il donner des cours online ? Y aura-t-il un autre livre ?
Pour contacter Alain Goudey : [email protected]
Blog du marketing pour ingénieurs : http://www.marketingpouringenieurs.com/marketing-ingenieur/
© Une production du Billautshow - the video for the rest of us - the e-billautshow : the french worldwide hub
Ah, le marketing!
Mal aujourd'hui nécessaire et cauchemard du bureau d'études!
En tout cas, si Alain Goudey a un micro et pas de casque, on note une bonne maitrise de la technique du son, car le résultat est plutôt bon à part sur quelques syllabes en "P" (micro trop près de la bouche?)
Monsieur Billaut, il faudrait peut-être penser au casque-micro, ou au micro-cravatte, car hormis les débuts de billautshow, ou vous parlez sans doute plus près du micro, on vous entend bien plus faiblement que vos interlocuteurs.
Peut-être est-il possible de pousser le curseur de niveau d'entrée dans les préférences d'entrée du son?
Rédigé par : Lionel POUSSIER | 17/06/2010 à 09:12
@Lionel...
Vous avez raison... je vais voir pour un casque... je n'avais pas fait la corrélation...
Rédigé par : Billaut | 17/06/2010 à 09:15
@Lionel
Pour les syllabes en "P", j'aurai du mettre le filtre en mousse par dessus. Mais je trouvais que ça faisait un peu too much ;)
Pour l'entrée son de Jean-Michel, vous avez tout à fait raison, il faut la booster un peu et l'utilisation d'un micro qui amplifie un peu plus (ou qui est plus près de la bouche sera l'idéal).
Enfin, concernant le marketing, je ne vois pas en quoi cela constitue un "mal" et un "cauchemard". Il s'agit tout de même d'un ensemble de techniques et de méthodes rationnelles et objectives qui permettent de limiter les incertitudes liées au marché (concurrent, consommateur, etc.) et à l'accueil qui sera réservé à l'innovation produit. C'est à intégrer de manière positive je pense par les bureaux d'étude. Non ?
Notre but avec "Marketing pour Ingénieurs" c'est justement d'éviter que cela soit mal vécu en montrant l'intérêt des techniques marketing dans le processus de R&D ou d'innovation des sociétés à forte composante d'ingénierie.
Rédigé par : Alain Goudey | 17/06/2010 à 09:30
@Alain
Que me conseilles-tu comme casque microphone... ?
Comme Alain je pense que nos ingénieurs ont besoin d'un couche marketing... La recherche fondamentale sans marketing OK... Mais quand on fabrique des bricolos c'est pas mal d'avoir l'avis de me Michu... Donc le Marketing sauce 1.0 et 2.0 : cela peut être utile..
Rédigé par : Billaut | 17/06/2010 à 12:25
@Alain
Je comprends bien la nécessité de l'étude de marché avant la conception.
Ce qui me gène dans l'omniprésence actuelle du marketing, ce sont les excès qu'elle génère parfois.
Lorsqu'à partir d'un produit A homogène et bien conçu, on supprime quelques fonctions, pour créer un produit B moins cher mais bancal, puis un produit C carrément sous-équipé et générer ainsi une sorte de "gamme".
Juste parce qu'on a identifié tel ou tel groupe de consommateur qui n'utilisait que rarement ces fonctions. C'est parfois dû à un manque de formation.
Mais que le produit change de mains, ou que l'utilisateur vienne à mieux apprendre à s'en servir, et la fonction manque.
Bien sûr, rien n'oblige à utiliser aussi mal le marketing, et à concevoir des produits mal fichus.
On peut aussi utiliser ce qu'il apporte comme infos pour concevoir mieux.
Je n'ai pas toujours l'impression que c'est comme ça que les choses se passent…
Rédigé par : Lionel POUSSIER | 18/06/2010 à 12:43