Connaissez-vous Bernard Spitz ?
Y aura-t-il une guerre civile en France ?
Pourquoi ?
Quelle probabilité ?
Qui est fautif ?
Peut-on l'éviter ?
Les autres pays ont-ils connu ce genre de choses ? (oui, mais ils ont déjà pris des mesures)...
Pourquoi nos présidentiables ne nous en parlent pas ?
Et Johnny Halliday qui qui se tire...
Discussion à batons rompus avec Bernard Spitz, l'auteur du livre "le papy-krack"
Livre "dur"... Mais à lire... (laissez peut-être passer les Fêtes ?...).
Etes-vous d'accord avec cette vision des choses ?
Pour contacter Bernard ici
Le fichier vidéo ici
Le fichier mp3 ici
© Une production du Billautshow - the video for the rest of us -
Pour creuser le sujet, www.papykrach.com, le blog de Bernard Spitz
Rédigé par : gteisseire | 21/12/2006 à 11:00
Bernard Spitz sur un blog qui s'appelle "vivement la retraite!"
Savoureux
Rédigé par : Marc | 21/12/2006 à 11:06
j'ai un prof d'anglais qui m'a fait un cour la dessus.
Que dire sinon "mais c'est vrai ça, pourquoi personne n'en parle? pourquoi on a rien fait?"
Rédigé par : azkart | 21/12/2006 à 18:18
Dans les années 70, il y avait déjà d'excellents articles et bouquins d'"Eco/Po" qui alertaient sur le sujet lequel concerne tout l"hémisphère nord, le sud n'ayant pas à se préoccuper de la répartition des richesses par génération puisqu'il n'arrive pas à en créer....le débat est évidemment d'ordre politique. En France, quand on observe les réactions de certaines corporations qui descendent dans la rue dès qu'on leur explique que la retraite à taux plein à 55 ans c'est fini....il y a effectivement de quoi alimenter une guerre civile.
Mais pas forcément celle qu'on croit.
Rédigé par : olivier2 | 22/12/2006 à 09:03
Vidéo très intéressante, merci !
Rédigé par : Lightman | 22/12/2006 à 12:14
Plusieurs fois que je viens sur ce blog et jamais déçu.
A l'écoute de cette vidéo, on a l'impression que l'INSEE et ses projections appartiennent à un autre monde ... Visiblement, notre (vieille) classe politique est juge et partie dans cette affaire. Ce qui fait mentir le (vieux) proverbe. C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes : soupe à la grimace si on en croit cette vidéo.
J'ai particulièrement apprécié la 'nouvelle gouvernance' proposée par B.S. Une démarche Projets qui n'est pas sans nous rappelé ce que nous autres informaticiens manipulons depuis tant d'années : IAM,REDO,CECS,SES etc pour les aficionados de SDMS ... Mais depuis le temps, la sauce est bien accrochée au fond de la casserole. Eh oui! des projets c'est avant tout des hommes.
Enfin, la prochaine équipe va avoir une gestion des priorités des plus cotons en 2007, est ce que comme d'habitude c'est celui qui parlera le plus fort qui va remporté le morceau ?
Après ces vagues considérations culinaires, bonne crise de foie à tous.
Et à suivre ...
Rédigé par : arena | 23/12/2006 à 18:43
C'est bizarre mais je n'adhère pas à ces propos un seul instant.
Quand est-il de la fuite des capitaux? Beaucoup de groupes et sociétés françaises (y compris celle dans le high-tech) sont aux mains de fonds étrangers. A partir de ce moment là, l'argent issu de la sueur du travail quitte le pays et ne revient pas. Ce ne serait pas plutôt par là qu'il faudrait commencer? Par exemple avec une version française de la loi Sarbanes Oxley pour suivre où vont les flux financiers?
Rédigé par : Stephane Rodriguez | 23/12/2006 à 19:57
Amusant, dans les années 1970, un malheureux prof. (du public ? du privé ?) parlait déjà du retournement de 2005 ? Amusant, au début des années 1980, le Parlement européen diffusait déjà des études sur le vieillissement et le déficit des régimes de retraite... et la presse ne trouvait pas du tout cela intéressant. Eh oui, il fallait inciter à consommer.
Pourquoi "on" (la plupart de ceux qui ne peuvent plus consentir le moindre effort d'épargne) ne pousse pas la capitalisation ? Parce qu'on a fait acheter des emprunts russes, des bons de la Défense... Non ?
À présent, il faut que ceux qui ne peuvent plus consommer consomment encore moins. Point. Donc, un Spitz nous en vend l'idée. Et veut nous faire croire que l'État peut aller à l'encontre des vrais souhaits du secteur privé, soit faire financer la formation des élites par l'impôt, la santé des possédants par les taxes, etc. Faire en sorte que des équipements culturels puissent accueillir Johnny Halliday et ses producteurs. Et lorsque, comme les Wendel, cela ne suffit plus, ils prennent la monnaie et vont voir ailleurs.
Les industriels et les financiers disent tout et n'importe quoi et leurs porte-parole, les Spitz ou les politiques font semblant de se bisbiller pour nous faire comprendre qu'ils faut les croire sur parole.
On veut plus d'ingénieurs pour que les salaires des ingénieurs baissent, plus d'HEC pour qu'ils deviennent de super-téléacteurs moins payés, etc., et on fera plus de taxes, plus d'impôts, pour que de super-Polytechniciens, de super-Énarques, des hyper-Hauts commerciaux soient encore mieux rétribués. Le reste est du Spitzer.
Rédigé par : Jef Tombeur | 25/12/2006 à 15:16
Et oui, ça dérange un brin!
Pourtant il ne s'agit que d'évidences. Sont elles trop simples, trop réalistes, trop courageuses, pour être reprises et acceptées par tous.
Elles devraient, doivent être au coeur du débat des présidentielles.
Seules une nouvelle croissance et une meilleure gestion des fonds publics nous permettrons d'assurer nos devoirs de solidarités.
Je vous invite à lire et signer l'appel que lance Cristian Blanc (ancien préfet, ex-président de la RATP puis d'Air France,responsable des accords de paix en Nouvelle Calédonie, ex-président de Merrill Lynch, député, membre de la commission Pébereau,...):
http://www.energies2007.com/Main.aspx?numStructure=39602&numRubrique=30937
Vous pouvez également écouter son projet pour remettre la France en mouvement :
http://www.dailymotion.com/Energies2007/video/2370165
Rédigé par : Imragen | 27/12/2006 à 00:44