Mais est ce bien légal ?
On parle beaucoup dans nos médias du "piratage" de la musique... Les majors sont blêmes et tentent d'enrayer par des actions en justice le mouvement initié par le P2P : Naspter, puis Kazaa, eMule, et autres Torrents...
Mais personne ne parlent du copiage des stations de radio sur Internet...
Je connaissais la chose, mais je n'avais pas percuté... Il me semble qu'avec l'augmentation des débits que l'on constate un peu partout, cette possibilité d'enregister est aussi dangereuse à terme pour nos éditeurs, que le P2P...
C'est la visite à un ami (j'en profite pendant les vacances) qui m'a fait tilté... Celui-ci a une bibliothèque de musique classique et de folk - c'est son dada - absolument époustoufflante... Tout cela en enregistrant de multiples stations de radio sur le Net, comme on faisait dans le temps avec un enregistreur à cassette sur son transistor.
La chose a évoluée : l'ami en question utilise le logiciel StationRipper. J'ai essayé de retour chez moi ce logiciel (il y a une version gratuite qui permet d'enregistrer 2 flux en même temps - la version payante à 14 $ permet d'enregistrer semble-t-il 300 flux - donc 300 stations simultanément...)
Je me suis connecté sur shoutcast.com qui distribue de multiples radios musicales (pas de blablas, ni de pubs...) et j'ai choisi des serveurs proposant des débits de 128 kilobits/s à 320 kilobits/s... (il suffit de cliquer sur "tune in" et la copie démarre... Et vous pouvez écouter en même temps - mais cela ne marche pas trop quand vous voulez écouter l'autre flux dans la version gratuite : un bug peut-être ?...
Le résultat dans l'ensemble est bon et même trés bon. Peu de buffering avec ma connection (et je pense que les serveurs utilisés sont largement dimensionnés - ce n'est pas le cas pour tous)... De plus, StationRipper récupére les tags des morceaux diffusés en mp3 (le titre du morceau, le nom de l'artiste, etc...) et vous remet tout cela en forme sur votre disque dur. En une heure j'ai ainsi récupéré un peu moins de 200 mégas de musique... Avec la version payante vous pouvez récupérer 40 heures de musique en ... 1 heure !
Et le logiciel n'enregistre pas ce qui l'a dejà été... Avec la version payante : vous enregistrez en même temps toutes les stations qui diffusent de la musique classique... A la fin de la journée, vous avez votre discothéque qui vous aurait coûté beaucoup d'argent par les moyens traditionnels (il est vrai que pour les puristes, le mp3 n'a pas la qualité du CD audio... mais pour un mélomane moyen avec une oreille moyenne pas trop encrassée, je pense que cela suffit)...
Bref : une petite merveille... Naturellement on ne sait pas a priori quel morceau va passer. Mais si l'on se connecte par exemple sur le homihomi cafe (un site asiatique), on sait que l'on va récupèrer du new age... etc... Ensuite, on fait le tri... Cela plaît : on garde, cela ne plaît pas : poubelle...
On peut en plus enregistrer des radios qui n'utilisent pas le procédé de shoucast (par exemple l'excellente SR Klassikt suédoise qui pourtant streame à un peu moins de 100 kilos).
C'est tellement simple, la qualité des morceaux enregistrés est on ne peut plus correcte.... que je me demande :
1/ est ce qu'il y a beaucoup d'internautes qui utilisent ce type de logiciels ? (il y en a d'autres de logiciels - vous utilisez lequel ?...)
2/ et surtout je me demande si c'est légal.. Car après tout, si nous sommes de plus en plus nombreux à utiliser ce type de logiciels, et que cela est légal : que va devenir l'industrie traditionnelle de l'édition musicale ? Et si ce n'est pas légal : comment donc nos aimables gendarmes vont-ils savoir que je copie les morceaux de musique sur telle station de radio IP ?
Si vous avez une opinion là-dessus...
J'ai fait une recherche sur le Net... L'excellent site ratatium.com annonce que c'est légal (au même titre que la cassette audio dans les temps anciens). Ce site publie aussi un dossier sur le "piratage" par les forums Usenet. Là aussi, on en parle très très peu... C'est certes un peu plus compliqué et ce n'est pas pour Madame Michu... Mais j'ai un autre ami qui par ce moyen a récupéré tout Brassens (et autres...)... Je suppose que là, ce n'est pas légal (c'est comparable à mon sens au P2P), mais comment le gendarme va-t-il pouvoir le savoir ? Car les morceaux de musique sont tronçonnés en petits bouts, avec reconstitution à l'arrivée sur l'ordinateur de l'utilisateur... Bref, là aussi, si vous avez quelques éclairages...
Pour résumé... Dans un cas (le P2P) quelqu'un met à ma disposition un morceau de musique que je peux copier gratuitement. On me dit que c'est illégal... Dans l'autre cas, un serveur/station de radio (qui je pense doit payer des droits pour diffuser sa musique ?) me permet grâce à un logiciel de copier ce "qui passe à l'antenne"... On me dit que c'est a priori légal... Cherchez la femme... Y'a quelque chose que je ne pige pas... Il me semble qu'on s'emberlificote les pinceaux dans nos sociétés avancées d'Homo Sapiens Sapiens...
Décidément l'Internet et la "vieille économie" ce n'est pas trop fait pour s'entendre...
Oui, ce procédé n'est pas actuellement attaqué par les majors.
D'ailleurs, celles ci ont dit que c'était légal.
Pour ce qui est des newsgroups, même si les fichiers sont tronçonnés, ils sont très facilement repérable (pour preuve, on arrive très facilement à les télécharger).
Mais la question n'est pas de savoir si c'est illégal ou pas, mais si c'est facile d'utilisation.
Les newsgroups, les ftp, les rings, les xdcc, ... existent depuis belle lurette, mais leur côté "nerdz" n'attire qu'un faible nombre de personnes qui ne sont pas des gros consommateurs (si on leur enlever ces outils pour récupérer ce qu'ils aiment de manière illégal, ils ne les acheteront quand même pas dans le commerce).
Le P2P, c'est une autre paire de manche, un nombre considérable d'utilisateurs lambda use de ce moyen pour consommer.
Or ces personnes sont à la base des consommateurs normaux, donc il y a une perte à gagner pour les majors.
Pour vérifier mes dires, on peut analyser l'histoire de bittorent.
Depuis un an, bittorent c'est énormément répandu chez les utilisateurs lambda, on a donc pu constater un acharnement des majors sur les torrent (fermeture de trackers à gogo, ...).
Je pense d'ailleurs que les prochains à y passer seront les newsgroups (sauf si entre temps un nouveau système plus facile apparait).
Tout n'est qu'en fait une question de popularité.
Les majors ne sont pas idiotes, elles n'attaquent qu'aux endroits où elles pensent pouvoir récupérer des consommateurs perdus.
Rédigé par : NSV | 10/08/2005 à 23:12
C'est légal pour la radio de diffuser (car la radio paie le drot d'auteur en accord avec l'auteur). C'est légal d'écouter la radio.
Mais ce n'est, je pense, pas légal de l'enregistrer (c'est l'utilisateur qui est en tort, pas la radio).
(La même chose est arrivée il y a 20 ans pour les K7).
Rédigé par : Thierry | 11/08/2005 à 00:32
Petites extrapolations (ou délires anténocturnes?) : le "Bluedisc"(je crois) de Sony (ou Hitachi),normalement mis en vente l'année prochaine,aura une capacité de 50 Go;à 1 Mo pour une minute de mp3 (en 128 kbits/s),on a donc ... 850 h de musique dans la poche (ou dans le sac banane ;) !!A 4 Mo le morceau,cela fait 213 morceaux...Combien de "déchet" comptez-vous sur cela?(Si vous enregistrez sans sélection...Et si vous sélectionnez?)
Reste à voir le coût.
Ma conclusion?Face à des moyens de récupération (réseau à haut débit),duplication (graveurs),stockage (DVD,disques durs),et écoute (baladeurs mp3,ordinateurs,et bientôt "media centers"),le modèle économique des majors (définissons-les comme "principaux détenteurs des droits d'auteur"),reposant sur la vente des titres "au détail ou des albums (que ce soit par support physique (CD) ou virtuel (vente en ligne)),et bien,ce modèle est tout simplement condamné.
Objections:
-"Oui,mais les éditeurs peuvent toujours faire taxer les téléchargeurs par l'intermédiaire des FAI ou des taxes sur les supports vierges (les disquettes,par exemple ;P )":sans doute,mais ce modèle a ses limites:il contribue à la mauvaise réputation des méchantes majors capitalistes qui ne pensent qu'à s'enrichir aux dépens du consommateur,de la qualité de l'offre,et même des artistes;et de plus,il ne pourra pas compenser des pertes abyssales en cas de mouvement généralisé vers le tout gratuit.
-"Oui,mais l'offre gratuite ne donnera jamais le choix que peuvent offrir des professionnels":oui,précisément;les mélomanes auront sans doute toujours besoin d'une visibilité et d'une disponibilité assurées seulement par des infrastructures commerciales (quoique les grandes institutions comme l'INA commencent à passer à l'ère digitale);mais la plupart des gens pourront se contenter d'un "fonds commun" relativement limité (voyez le succès (et la qualité...) des tubes...ainsi que des reprises :/ ),ce qui amènera à un appauvrissement généralisé de la demande,et donc de l'offre (ce qui pourra laisser place aux "indépendants" mettant leurs oeuvres gratuitement à disposition,ce qui risquerait de consolider la position du gratuit:les majors n'auraient en effet plus que le goût du public pour la nouveauté (et donc pour de nouveaux artistes) et pour la rareté (et donc pour leur fonds d'archives) pour espérer se rattraper...)
Donc,rien de bon en perspective:mais comme dit l'adage (sûrement bien connu sur ce blog ;),"autres temps,autres moeurs"...
PS:la situtation est identique pour les médias vidéos,il y a simplement un facteur technologique de différence de 100 (qques Mo => qques centaines de Mo);nous avons déjà des disques durs de qques centanes de Go,guettez l'arrivée des disques gravables de même capacité (d'ici 3 ou 4 ans?)...
Rédigé par : C'est la vie... | 11/08/2005 à 00:54
commentaire intéressant de "c'est la vie"
combat d'arrière garde que celui des majors dont la baisse des ventes n'est certainement pas du à 100% aux échanges p2p et autres.
à noter Ian Clarke (freenet) qui annonce Darknet et qui si on s'en tient aux spécifications annoncées va donner du fil à retordre aux régimes autoritaires et aux riaa mpaa et autres
Rédigé par : tao | 11/08/2005 à 02:58
Oui "C'est la vie..." vous avez je crois raison : les majors continuent à protéger leur modèle basé sur le droit à la diffusion ou la vente d'un support donné. Avec le numérique, plus de support... et seul des DRM peuvent "contrôler" la diffusion. Il y avait sans doute un business à réinventer, mais il fallait le faire avant l'an 2000.
Malheureusement je crains que bcp de monde (moi compris...) ignore les sources de revenu d'un artiste - le point central étant : comment financer toute la période nécessaire de création, de répétitions ?
Par ailleurs on parle beaucoup de la chute des ventes de disque, mais en 10 ans je vois exploser le nombre de concerts, festivals, ... Et le nombre d'artistes qui ont accès à un public !
Est-ce qu'un artiste peut vivre de sa musique uniquement sur les revenus de concerts ? Je ne pense pas. Si l'on rajoute des droits de diffusion à chaque passage en radio, télé, est-ce que cela suffit alors ? Sans doute pas... Alors, quoi ?
Rédigé par : Pierre Goiffon | 11/08/2005 à 09:57
C'est parfaitement légal, pour information, c'est pour diffuser une oeuvre quelqu'elle soit qu'il faut aquérir les droits ( sur le reseau l'upload ), par contre il est tout à légal de les enregistré pour sois, c'est dit dans l'article L122-5 du droit d'auteur
voir ( http://lexinter.net/Legislation/droits_patrimoniaux.htm )
je cite : Lorsque l'oeuvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
...
2º Les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, ...
d'ailleur, ce droit ce paye cher, les taxe ( oui je parle bien de taxe ), sur les K7 et autre cdrom vierge sont justement la pour compenser le manque à ganier des ayant droits ...
j'en profite aussi pour dire aussi qu'un copieur avec plus de 400 DivX, a été aquité, l'accusation n'avait pas pu pouver qu'il faisait de la diffusion des vidéos.
Par contre la Sacem ( Collectif de gestion des droits d'auteurs ) commence à vouloir imposer des DRMs sur cette diffusion, pour justement limité les effets de cette techologies.
Rédigé par : Laurent V | 11/08/2005 à 10:30
Pierre : "Est-ce qu'un artiste peut vivre de sa musique uniquement sur les revenus de concerts ? Je ne pense pas. "
Je connais nombre d'artistes qui vivent de leurs concerts et qui d'ailleurs ne conçoient pas leur art autrement que sur scène. Je ne dis pas que cela est facile et que cela leur assure des revenus mensuels à 5 chiffres mais en tout ils sont très heureux.
Mais bon je ne cherche pas à généraliser un cas comme un autre.
Rédigé par : tao | 11/08/2005 à 12:03
Laurent V:oui,mais il ne s'agit là que de la législation française;Internet étant mondial,on tombe tout de suite sur le vide juridique international...ou plutôt,sur des juridictions locales non accordées entre elles (quand elles existent...quoique ceci s'améliore).
Et la variété des jurisprudences dans UN MEME pays ne font que confirmer le flou artistique ;P dans le domaine:vous citez Rodez,mais on a eu exactement le contraire à Perpignan (je crois).
Allez,faisons un peu de politiquement incorrect ;) (ouh,les vilains!):face à la technique,la Justice et la coopération internationale sont (complètement) aux fraises.
Rédigé par : C'est la vie | 11/08/2005 à 13:59
La "durée" des droits d'auteur - en fait droits des producteurs - n'a pas arreté d'augumenter au fils des ans.
Ma question est: connaissez-vous des exemples des droits d'auteur - droits de producteur qui auraient expirés ?
Ou tout le patrimoine d'humanité a été pillé et mis sous rançonnage par les producteurs et les intermédiaires de tout poil ?
Rédigé par : yellow rose | 11/08/2005 à 15:03
tao: c'est sans doute possible pour un interprète. Maintenant, ça ne permet pas à quelqu'un de passer les mois et mois nécessaires à créer...
Rédigé par : Pierre Goiffon | 11/08/2005 à 15:17
vieux comme le monde Internet, ce prog a été utilisé pour fournir les Live des sessions de mix de la BBC1 depuis bien des années maintenant.
Rédigé par : Charles Nouÿrit | 11/08/2005 à 16:21
Bonjour Jean Michel,
ça fait un moment que je lis votre blog, et franchement je suis étonné que vous soyez étonné.
Je pensais que vous étiez conscient du fait qu'aujourd'hui, la distribution de contenu numérique a un coût marginal nul.
Nul.
Zéro.
Nada.
Le métier de distributeur de contenu numérique va donc disparaître au même titre que celui d'allumeur de réverbères.
Séchez vos larmes, les artistes seront toujours là.
Alors "légal, ou pas ?" ce n'est pas la bonne question.
La bonne question, c'est "comment le public pourra-t'il continuer à rémunérer les artistes, une fois que les distributeurs auront cessé d'exister ?".
Tout le reste n'est que gesticulation d'une industrie à l'agonie.
Rédigé par : Philippe Z. | 11/08/2005 à 16:46
Tao> oui je m'appuis sur la legislation française, mais elle n'est pas si loin des autres legilslations. prenon comme exemple la legislation américaine, elle à aussi un droit à la copie privée, c'est la notion de "fair play", un peut moin précise que la notre, mais elle exite. mais si on regarde les autres legislations, elles sont toutes organisées de la maniere suivante :
1 - les oeuvres font partie du domaine public ( et oui :) )
2 - En qualité d'auteur, l'auteur a des droits particulier dessus ( droits temporaire sauf en france ou le droit moral est pour lui par contre intemporel ).
3 - ce droit temporel ( quand même 70ans apres la mort de l'auteur sic ) donne a l'auteur un droits pratiquement total sur son oeuvre.
4 - Le public à aussi des droits que l'on ne peut lui enlevé sur l'oeuvre (L122-5 en france, "fair play" en amérique, autres... )
voilà en gros.
prenon les acteurs.
Auteurs
Finalement on entend peut parlé deux, faut dire qu'il sont pris en 2 feux, soit il sont pour la pénalisation et leur image de marque en patisse beaucoup, soit ils sont pour le libre échange et se mettent leurs producteurs à dos. résultat status quo.
Maison d'édition ( princpalement MAjor )
Elles sentent le vent tourner, leur activité de base est de dupliqué des oeuvres, même si elle on élargie leur domaine ( création de catalogue, promotion ... ), leur nef de la guerre est toujours la vente a l'unité des oeuvres, mais que vau encore leur marché quand le tout à chaqu'un peut dupliqué les oeuvres à foison ? ( vive l'informatique ), c'est leur racine même qui pourrisent. Resultat on les voie partouts. Et elle font n'importe quoi pour resté un acteur incontournable pour tout artiste qui veut ce produire, mais c'est fragile, d'autemps plus qu'elle vivent sur le dos de artiste et des clients.
Diffuseurs,
pour eux aussi le vent commence à tourné, leur rôle est de porté les duplications jusq'au public, en mettant en place un cirquit de distribution, mais qu'elle rôle on t'il encore à jouer quand le moindre quidam peut à la possibilité de tranféré l'oeuvre dans les quatre coin de la planéte ? ( vive l'internet ), heureusement il on pour eux de ne pas distribuer que des oeuvres.
Gestion de droits collectif ( ex Sasem )
Né à l'époque de la légalisation de la radio, on pour principale ocupation la rémunération des artistes et auteurs, voie de l'argent pour eux partout ou il y à de largent, ils sont finalement les mieux armés pour aprécier les changements qui sont en train de venir. mais leur principale problèmmes actuellement etant de mettre en place une structure qui prenne en place l'ensemble des préocupation de leurs sociétaires, en particulier avec les nouvelles aproche de certains artistes ( ex: licence créative common )
Les copieurs
( j'utilise pas le thèrme "Pirate" qui à mon sens jette un discrédit d'entrée qui nuis au débat )
Il sont dèjà paticuliérement nombreux, de plus il sont attentifs aux changements et aux réseaux, c'est aussi dans leur rans que l'on trouvent les acheteurs. toujours pres à changer de réseaux, il aplique ce qu'on fait leurs parents ( près, duplications, soiré autour d'un films ...) à une toute autre échelle, il savent pertinament que la politique actuelle ne poura pas continuer dans le sens actuel, et sont pres à changer rapidement de mode de partage ( Napster -> Kazaa -> Edonkey -> Bitorrent -> verra bien ), et ceci en fonction des attaque porté par les "MAjors", sur ces réseaux, un vrais jeux de chat et de la souris. Partagent tout type de contenue, il n'en sont pas pour autemps des m'épriseurs de culture , bien au contraire, généralement les plus gros partageurs sont aussi les plus gros acheteurs. je voulais dire aussi que l'on passent le temps à leur tapper dessus, du coups ils ne parlent pas des masse mais il agissent.
Les contrafaceurs
j'entend par contrefacteur, les vrais, les dures contrefacteurs, ceux qui utilisent le travail d'autruis, la notoriété d'une marque pour faire de l'argent dessus. ceux ci sont dèjà largement basée à l'êtranger, et les durcissements des droits d'auteurs n'on finalement pas d'incidance sur eux, de plus ils sont largement instrumentaliser, noter, le fait que l'on ne cherhe sistématiquement a faire l'amalgame entre entre eux et les simple copieur
Les politiques
Je ne vais pas être tendre avec eux. Il sont très loin de comprendrent les changements humain qu'entraine l'arrivée dans les foyers de l'informatique et de l'internet, au mieux ils le regardent. demandez leur ce qu'est un ordinateur et a quoi il sert, vous serez surpris des réponses.
pour eux internet est un repére de mafras de toutes sortes, et comme il convient di mettre fin..., bref de belles andouilles qui avalent n'importe quoi du moment que c'est bien présenté ( je parle sur les question de nouvelle technologie, pas sur le reste ), si en plus il s'entourent de conseiller ( partisant de préférence ), qu'il recherche un equilibre dans un seul camp ( sa s'appelle être partisant ), les lois qu'il nous préparent vont de toute façon être largement bafouer, ignorer, mépriser, contourner, et il ne vont encore pas être grandis avec leurs bétissent qu'il se préparent à voter.
Les juristes
Charger d'appliquée les lois, ils regardent une réalitée qui les depassent un peut, dous leur grands malaise quand il s'agit de ce pronocer sur les cas des copieurs qui sont mis devant eux, de plus ils manque de jurisprudance, pour bien trancher, contient qu'il font des exemples ( des victimes ? ), de leurs jugements, et que celà n'a finalement pas vraiment d'incidance dans les comportements, ils se posent finalement et logiquement le sens de leur condanation( un haut magistrat à écrit un jour un article dans libération pour condanner ces proces sens réél sens ).
Bon voilà ma "Petite" contribution :)
Rédigé par : Laurent V | 11/08/2005 à 16:52
Arrf, j'ai pas eu le temps de relire, je me suis trompé de bouton et il reste quelques erreurs. Sinon pour l'avenir serait t'il possible d'avoir un plus grand cadre pour faire des réponses ?
Rédigé par : Laurent V | 11/08/2005 à 17:02
et ben voila de beaux comments... merci en tout cas...
Pour Laurent V (merci pour l'excellent commentaire) : je ne sais pas trop comment avoir un cadre plus grand pour les réponses...
Pour Philippe Z... non cher ami... je ne suis pas étonné... mais si j'enregistre de la musique/radio, je ne voudrais pas avoir des histoires... d'où mon post... les éditeurs de musique tradis sont les premiers sur la liste de l'e-evolution... les suivants ? je pense que cela sera les majors du film (avec l'augmentaion des débits) et en même temps (à voir ?) les opérateurs de téléphonie tradis... pour aprés j'ai ma petite idée...
A part cela quelqu'un utilise-t-il des logiciels comme StationRipper ? si oui lequel ? en etes vous content ? A part shoutcast vous utilisez quoi ?
Rédigé par : billaut | 11/08/2005 à 17:12
>mais si j'enregistre de la musique/radio, je ne voudrais pas avoir des histoires
Vos scrupules vous honorent ...
Pour les outils qui font de l'upload, on peut toujours discuter vu que c'est assimilable à de la "représentation" qui ne souffre pas d'exception, mais pour les outils qui ne font *que* du download, donc de la copie, qu'on supposera à usage privé, on tombe pile poil dans la L122-5 qui vous protège parfaitement.
De toutes façons la licence légale est la seule solution acceptable par tous, alors autant effectivement mettre les pieds dans le plat en démontrant l'absurdité de l'opposition entre le téléchargement simple et le partage.
En espérant que ça ne prenne pas encore 10 ans...
PS : 100% d'accord avec Laurent V (sauf peut être sur le participe passé des verbes du 1er groupe ;-) )
PS2 : pas d'avis sur StationRipper, je ne télécharge (pratiquement) pas de musique ... seulement des films ;-)
Rédigé par : Philippe Z. | 11/08/2005 à 22:02
Pour Laurent V.
Oui, mea culpa, vous avez raison. C'est bien légal d'enregistrer la radio !
En fait, l'industrie musicale s'est adaptée à cette "perte" depuis longtemps (et touche effectivement la taxe sur les supports). Mais votre précision + le billet de Pierre, ça me donne une idée que je vais poster sur mon blog car ce serait un peu long de tout mettre ici.
Rédigé par : Thierry | 12/08/2005 à 00:06
Voilà comme promis une idée pour se procurer la musique mp3 qu'on souhaite en toute légalité.
Aussi bien que Napster, mais légal
Rédigé par : Thierry | 12/08/2005 à 00:35
Pour Thierry... comme je l'ai écrit sur ton blog... "on l'a quand ce soft génial ?" je ne sais pas trop si tu peux développer cela.. sinon le proposer au agrs qui a développé StationRipper ?
Pour Philippe Z... je vais me mettre aussi je pense aux films... Y a-t-il aussi des logiciels légaux ? merci pour les tuyaux que vous pourrez nous donner...
Rédigé par : billaut | 12/08/2005 à 09:14
NSV > Vous avez parfaitement résons, mais j'irait même plus loin, beaucoups de contenue s'échange via les reseau underground, mais il existe encore beaucoups d'autre moyen d'échanger moins médiatique, comme les messagerie instantané (MSN, Jabber...) mais aussi le courier (électronique), les cours de récréation, et ceux ci sont tres simple à utiliser...
Pierre Goiffon > Vivre que sur les conserts, voilà un "nouveau" mode de revenue qui ne peut pas être copier sur internet, mais je suis comme vous, je ne pense pas que selà sera suffisant pour assuré la pérénité a l'artiste.
yellow rose> Il existe beaucoups de contenue libre, principalement dans le texte, par exemple l'ensemble de l'oeuvre de Jules Verne et maintenant dans le domaine du libre, les ecrits de platon aussi, pour trouver les 1er contenue libre il faut ce plonger dans les oeuvres d'avant 1935, ce qui n'est pas tres conséquant dans la musique-video. A mon grand désespoir, beaucoups d'oeuvre sont en train de pourir dans je ne sait quelle étagére, et dans qu'elle êtat les retrouverons nous le jours ou l'on les sortira des étagére ? que de gachi à mon sens.
Philippe Z> je n'apporte pas vraiment le même point de vue que vous sur la gratuité de la distribution, je m'explique, pour moi internet est une zone de concurence acharné, en deux coups de souris vous pouvez choisir l'un ou l'autre marchant, prime à selui qui vendra le moins chère le contenu, et le moins chere c'est la gratuité, et comme il y a des milliers de "vendeurs" potenrtielle, la gratuité est une conséquence, pas un avenent.
Laurent V >
bon comme j'aime être critiqué ( dans le bon sens du terme ), je vais essayer de faire un bout d'auto critique de mes dires.
/mode autocritique
Cher Laurent V, votre conception un rien caricatural des acteurs me laisse perplexes et je veut pour exemple qu'un certain nombre de labels ( vous en trouverez une liste sur le tres bon site www.musique-libre.org ) laisse télécharger librement les oeuvres qu'il produise à quiconque le veut dans ce domaine je citerait 2 bon site français ou l'on peut télécharger librement et gratuitement de la musique avec en prime l'accords des auteurs :
* http://musique-libre.org
* jamendo.com
de plus dans votre tour d'horizon des acteurs vous oubliez vites un certain nombres d'acteurs comme les constructeur informatique ( ordinateurs, lecteurs MP3... ), les ISP, mais aussi ce qui est moins pardonable les nouveaux entrant comme le programme, sujet de ce post, à savoir Station-Ripper. on peut rajouter dans la liste des ommisions la capacité des "Copieurs" à créé de nouveaux ( darknet ) réseaux comme indiqué dans sont 1er post par tao.
Les auteurs, et les interprétes qui vont dérriere, ne sont pas tous, et loin de là, des personnes qui ne font rien. Comme indiqué un peut plus haut, beaucoups d'eux donne leurs créations à qui veut les entendres (voir les url sur musique-libre et jamendo) , il commence même à sorganiser autours de plateforme.
/mode fin du mode d'autocritique
bon je vais répondre en partie a mon autocrique en rajoutant les points manquants de mon tours d'horizon.
Les ISP,
Leur rôle est de connecter leurs client à la toile mondiale, et de vendre des grosse prestations. Et les gros demandeurs sont principalement les "Coppiers", du coups pas étonant que dans le passer il on fait de la pub pour "venez trouvez toute la musique chez nous". maintenant qu'il se sont fait tapper dessus par les Majors, il on l'égerement changer de discours, chez nous on télécharge plus vite que vite ( la vitesse vous manque ? ), ceci étant il savent tres bien que si il "pactise" avec les Majors contre les internautes, il risque fort de ne pas sen remetre ( finacierement ), du fait du départ précipité des autres "Copieurs" de leur réseau. le plus paradoxal, c'est pour les maison d'edition, si demain elle veulent vendre des contenues sur internet, il faudra que le client ait une big connection au réseau des réseaux.
Les constructeurs informatique
Il n'ont pas directement d'interret dans les maisons d'editions, et sont beaucoups plus a l'écoute de leurs clients, ce sont eux qui on introduits les lecteurs MP3, et autre lecteurs DIVX, Il rajoute des DRM dans leur plateforme, principalement pour assuré des compatibilité, mais pas vraiment comme fonctionalité ( On notera SOny qui a fait une sortie remarcable du marché avec ses lecteurs MP3, qui ne lisait pas le MP3 ).
Les nouveaux entrant.
Il sont de tous type, s'appuyant sur des pratiques plus ou moin légal, on notera le trés mediatique P2P, se bassant principalement sur des pratique illégal ( aux regard de nos legislation ), en passant sur des logiciel que je califirait de parazite comme Station-Ripper, utilisant le reseau dans une configuration "non prévus", mais aussi de nouvelle pratique, et celle ci parfaitement legal, comme les 2 site que j'ai nommé plus haut, à savoir ( http://jamendo.com/ et http://musique-libre.org ).
bon je terminerait sur une devinette
-_- Que-ce que l'on peut donner et gardez à la fois ? -_-
Apres extrapoler la réponse aux oeuvres, et demandez vous ce qu'est la "Musique dématérialiser" ( Ce qui faut dire entre nous est un non sens ).
Ce sera tout pour ajourd'hui.
Rédigé par : Laurent V | 12/08/2005 à 15:53
Salut l'ami
c'est légal de copier.
Ce qui est illégal, c'est (sic) d'écouter de la musique à plusieurs en dehors du cercle familial au sens restreint sans payer la Sacem (ou l'organisme collecteur).
En clair, quand tu emmènes Madame Billaut dans ta voiture, tu peux lui faire écouter tous les disques que tu veux. Mais si tu amènes une copine, ou pire moi-même, alors tu dois payer la Sacem si tu mets un CD.
Rédigé par : serge soudoplatoff | 16/08/2005 à 15:27
peux tu me dire dans quelle catégorie rentre la belle-mère ? because je dois ballader le mienne dans mon auto sous peu, et comme je vais mettre la radio (because la dite belle mere cause beaucoup...) je ne voudrais pas être en infraction... tu me connais hein ? réglo réglo..
N'empeche que ce bazar du droit d'auteur et autres c'est un truc quand même un peu bizarre...
Rédigé par : billaut | 16/08/2005 à 17:33
Jean Michel > Votre belle-mère fait partie de votre famille... elle rentre donc dans le cadre du "cercle familiale", en fait dans le droits, la notion de cercle familliale est a prendre dans le sens large, entendez par là, la famille, mais aussi les familles recomposée, les petites amies, et même le cercle d'amis proche.
donc faire une petite soiré entre "copins", en écoutant de la musique ou autour d'une vidéo ne posent pas de problèmes. ( toute une génération la fait ^^ ).
Rédigé par : Laurent V | 17/08/2005 à 09:20
Jean Michel> Pas de moyen d'obtenir des films de manière simple et légale à ma connaissance.
Il existe quelques excellents sites qui répertorient les fichiers que l'on trouve sur la mule ou autre mais il ne serait pas très poli d'en poster l'URL ici.
Laurent V> Non, la gratuité n'est pas une conséquence de la concurrence entre les différents acteurs.
La distribution de contenu numérique est gratuite parce que :
1.- il existe un réseau mondial à haut débit auquel on peut se connecter pour un cout *modique* et *forfaitaire*,
2.- il existe des applications de P2P permettant d'utiliser la bande passante de chaque utilisateur et non pas celle du distributeur primaire.
La conséquence, c'est que la distribution de n copies d'un fichier coute le même prix que la distribution d'un seul fichier. Le concept de distribution n'a même plus vraiment de sens. Il y a quelques (rares) personnes qui poussent des fichiers sur le réseaux, et les autres qui les en extraient.
C'est la multiplication des pains. En vrai. Sauf que les boulangers ne sont pas d'accord. Ils disent qu'eux seuls savent faire le premier pain qui ensuite peut nourrir tout un village, et que donc il faut mettre en prison tous ces gens qui mangent des pains multipliés.
Rédigé par : Philippe Z. | 17/08/2005 à 17:45
Laurent V> "Que-ce que l'on peut donner et garder à la fois"
Un fichier ?
Rédigé par : Philippe Z. | 17/08/2005 à 18:21
"Laurent V> "Que-ce que l'on peut donner et garder à la fois""
(Oulà,on va s'y perdre,dans ces ponctuations!)
(excusez mon aurtograpphe et mon phrasé,je suis un peu ... hésiatnat à cette heure arrosée ;)
Un sourire.
=>"Un sourire ne coûte rien, mais produit beaucoup:
Il enrichit celui qui le reçoit, sans appauvrir celui qui le donne.
Il ne dure qu'un moment mais son souvenir est parfois immortel.
Nul n'est si riche ou si puissant qu'il puisse s'en passer
et nul n'est si pauvre qu'il ne puisse s'enrichir en le donnant.
Il ne peut ni se voler, ni se vendre car il n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne.
Un sourire crée le bonheur au foyer, encourage la bienveillance en affaires et scelle l'amitié.
Un sourire c'est du courage pour l'âme abattue
du repos pour l'être fatigué
de la consolation pour le coeur endeuillé
de la joie pour ceux qui sont découragés.
C'est un véritable antidote que la nature tient en réserve pour toutes les peines.
Et si l'on vous refuse le sourire que vous méritez soyez généreux donnez le vôtre car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut le donner."
Reste à espérer que les majors soient sensibles à ce message...
Rédigé par : C'est la vie (joyeuse!!) | 18/08/2005 à 02:10
la comparaison de Philippe Z avec la multiplication des pains est intéressante si elle n'est pas copyrightée je vais la réutiliser...(voir son post du 17/8/05 de 5:45)
c'est probablement vrai que dans les 5 a 10 ans qui viennent on va assiter à un sérieux chamboulement... pour rester dans les comparaisons comme dire bibliques "les premiers seront les derniers... etc...
Rédigé par : billaut | 18/08/2005 à 09:18
Bon, je vais donner la solution à ma petite devinette, je l'aime particuliérement bien, en montre que notre société est une société largement matérialiste :
-_- Que-ce que l'on peut donner et gardez à la fois ? -_-
Tous simplement --> l'information <--
et oui, les amis, on ne partage pas la musique ... mais "l'information musical", on ne partage pas de vidéos, mais de "l'information video-musical". c'est dailleur en ce sens que l'informatique ( information automatique : outil de traitement automatique de l'information ), est une révolution... ( je dirait même quelle est en marche ). Les autoroutes de l'information (axa: internet ) ne sont la que pour partager de l'information. c'est un outil qui n'avait pas d'équivalent avant.
j'en profite que tout ce qui est dans l'ordinateurs ( musiques, vidéos, images, programmes, fichiers... ), n'est dans le fond qu'une suite d'octets, un octect représentant 8 bits, ( un bit pouvant prendre 2 êtats 0 ou 1; le sens de ce bit est arbitraire, information arbitraire, toute la magie de l'informatique est là ), de par cette nature informationnel, ouvre de nouvelles possibilité:
- sauvegarde ( vous sauvegarder votre pain vous ? )
- comptression ( compresser une voiture, vous ne la retrouverez jamais dans l'êtat original )
- criptages ( Ou comment rendre une information ilisible à un tier )
- découpages ( ex: sur un réseau les fichiers sont découper en block de 1500 octects, mais aussi les clusters sur les disque dur )
- réasemblages
- checksum ( somme de controle : permet de verrifier l'intégrité d'un fichier )
- copy ( Dans les on ne fait que des copy d'information, copier une chaise, vous commencerez par prendre ces dimentions, couleur, structure... tous ces éléments sont des informations )
...
c'est relativement lourds de conséquences, celuis qui veut controler les copies, doit commencer par controler l'information.
les DRM, ne sont là que pour répondre à ce dil :
- comment vendre une information sans que l'acheteur puisse en disposée.
il est intérésant de noté que l'on est passer d'une oeuvre associé à sont support ( qui subisait les contraintes de se support ), approche matérialiste. Ces cette aproche qui a donnée les fondements du droit d'auteur, sur lequel est née l'insdustrie du disque (disque = matériel). A une approche informationnel ( musique dématérialier = information musial sans en allez jusqua bout du concept ), ou l'industrie ne retrouve pas ( à juste titre ) les composantes de sons marché traditionnel. Remarqé aussi qu'a chaque fois que l'on a passer une étape dans la "dématérialisation" de l'oeuvre, il y a eu un clash dans le droit d'auteur :
- Imprimerie : possibilité de dupliqué facilement les oeuvres.
- Radio : diffusion de masse
- La cassette : possibilité au public de copier les oeuvres
- L'informatique : rentrée dans une nature infomationel de l'oeuvre
- L'internet : capacité de diffuser les oeuvres au plus grand nombre :)
Philippe Z > j'aime bien l'exemple du pain, mais il a un très grand défaut, il donne une image matériel à ce qu'il ne l'ai pas :)
C'est la vie (joyeuse!!) > j'aime bien l'approche de votre sourire, mais un sourire est avant tout une information destiné au autre pour indiqué notre bonne humeur :)
Rédigé par : Laurent V | 18/08/2005 à 13:06
Cher Jean Michel, vous pouvez réutiliser l'histoire des pains, je pense qu'elle est dans le domaine public depuis un paquet de siècles ;-)
En fait c'est le résumé d'une histoire dont je n'arrive pas à retrouver l'URL mais qui en gros décrivait une société qui inventait une machine capable de dupliquer les objets matériels à l'infini.
Les conséquences - criminalisation de l'usage de la machine, érection de barrières inutiles, volonté de retour en arrière, etc. - pourraient paraître complètement absurdes si l'on ne vivait pas exactement la même chose aujourd'hui avec la culture numérique ...
(Je ne vous raconte pas la chute ... quelqu'un voit de quoi je parle ???)
Rédigé par : Philippe Z. | 18/08/2005 à 20:54
je voudrais corriger une petite erreur de ma part, j'ai indiqué que l'équivalent français de droit à copy privé en amérique était le "fair play", ce n'est pas le bon therme. le bon therme est le "fair use". Quant au "fair play" c'est le nom du system de DRM utiliser par Apple pour l'encriptage des musique :)
Rédigé par : Laurent V | 19/08/2005 à 15:27
Jean-Michel,
Merci de m'avoir fait découvrir StationRipper et ce principe d'enregistrement de radios web.
J'ai finit par l'installer ce WE, c'est tout simplement prodigieux !
A noter que les sites des radios établies (Europe1,...) ne semblent pas reconnus par l'outil. Peut-être est-ce dû au fait que j'ai, comme vous, installé la version d'essai.
Je pense acheter la version complète, car il existe un système de filtre qui me paraît interessant, surtout si on référence 300 stations ! Si j'ai bien compris, cet outil peut devenir une sorte de "peer to peer légal" pour personne pas trop pressée : si vous filtrez exclusivement sur un artiste et 300 stations, au bout de quelques jours, vous aurez fatalement toute sa discographie !
Je vais faire le test !
NB : Je me suis aussi mis, tant qu'à faire, à Yahoo Music en créant ma propre station radio. C'est sidéralement simple et génial (on peut noter les genres, les artistes ou les chansons en permanence pour affiner la programmation). Je crois que c'est bientôt la seule radio musicale que j'écouterais chez moi !
Et je me demande vraiment dans quelle condition je pourrais désormais être amené à acheter un CD ??? Peut-être pour faire un cadeau à quelqu'un ?
Rédigé par : Christophe D. | 29/08/2005 à 14:24
"Merci de m'avoir fait découvrir StationRipper"
pas de quoi... je n'ai pas eu le temps de tester SationRipper avec autre chose que shoutcast... si vous pouvez enregister autre chose, cela serait sympa de nous dire...
effectivement, acheter un CD va devenir un acte du passé je pense... pas de suite mais dans quelques années...
Yahoo Music.. suis pas encore allé voir... j'y vais de ce pas...
Rédigé par : billaut | 29/08/2005 à 14:49
Pour Mac il existe un équivalent à Station Riper qui s'appel iShout
Rédigé par : Laurent Deséchalliers | 04/09/2005 à 19:45
Bonne idée, mais ce qui devrait être dans l'avenir?
Rédigé par : piano instrumentals | 11/01/2010 à 13:52